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EVROPTAL |
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En novtal pro Evropland - Une nouvelle langue pour l'Europe - A new language for Europe - Una nueva lengua para Europa - Eine neue Sprache für Europa - uma nova língua para a Europa - Nova lingvo por Eùropo - een nieuwe taal voor Europa - Una nuova lingua per l'Europa - Новый язык для Eвропы - |
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Actualité : Tous à vos plumes ! A tous ceux qui désirent s'investir un tant soit peu dans ce projet, je leur souhaite la bienvenue, et les invite à me contacter par e-mail pour en discuter plus longuement... |
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Paris, le 6 août 2005, L’Evroptal est un vieux
projet de plusieurs années, maché et remaché jusqu’à plus soif, et qui
commence seulement à prendre un peu de vigueur. Avant de commencer, je tiens d’abord à annoncer la couleur : vous n’êtes pas sur une n-ième version d’un hypothétique et récurrent latine sine flexione. Novial, Interlingua, Latinide… L’Evroptal est bel et bien une entreprise totalement inédite et, a de multiples niveaux révolutionnaire. L’Evroptal s’annonce dès le début comme une collaboration lexicale et grammaticale entre toutes les langues qui sont ou ont été parlées sur le continent européen depuis les âges historiques. Nous parlons en l’occurrence de l’Europe géographique, et non politique. Il s’agit donc de la création d’un « créole européen » dont le processus de création est bien entendu totalement virtuel. Partant de plusieurs dizaines de langues, j’ai procédé d’abord à l’élaboration d’une grammaire, simple, totalement régulière et très efficace – à l’image de l’espéranto -, en respectant un aspect naturaliste et intuitif assez attrayant. Il est notable que les terminaisons et la syntaxe diffèrent profondément des ersatz latinophiles de mes confrères. Dans le même temps, un début de lexique a été établi par le biais d’un travail de recherche pointilleux et très long (plus d’une cinquantaine de langues toutes époques confondues !) qui est encore très loin d’être achevé, par manque de temps. La tentation a été forte d’imposer l’indo-européen comme seule et unique source pour cette langue auxiliaire ; c’était faire abstraction des autres familles de langues évoluant sur notre continent depuis les temps immémoriaux, comme les langues finno-ougriennes et les langues isolées ou disparues . Contrairement aux autres langues dites « auxiliaires construites », L’Evroptal ne sacrifie pas à la loi du « plus parlé ». le lexique ne fait donc quasiment pas cas de l’ « internationalité » des racines, et privilégie plutôt la convergence esthétique : la racine doit avant tout s’intégrer dans la langue, se fondre instinctivement et sans « forcer » dans un cadre phonologique déjà bien forgé. Horreur supprême ? crime de lèse-espéranto ? idiotie pure ? incompréhension des lois immuables de la lexicographie ? A vous de choisir. J’ai beau quant à moi tourner la question dans tous les sens , je continue à penser qu’il n’existe aucun lexique commun et suffisamment explicite à une population si culturellement bigarée que la population européenne.
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Pour sacrifier à la tradition conlangiste :
Me wa genet, Em jindiv blavviji, De 'ni genes barbari, Bi li kimeris, boni ka sivi, Kwe doma krai'n mar temen, Fol av 'ni drevkamen, Bitit de groz toojden. Alors ?.. vous avez deviné ? |
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